histoire de survivant
rescueME PLB 1 sauve un randonneur d’une alerte sanitaire au sommet des montagnes isolées de Nouvelle-Zélande
J’adore la randonnée. L’effort physique pour atteindre les sommets est toujours récompensé par des vues à couper le souffle. Je suis fier de savoir que je peux y parvenir seul. Faire de l’exercice dans un cadre naturel magnifique a un effet apaisant et garantit une bonne nuit de sommeil.
Le Dusky Track dans le Fiordland était sur ma liste de choses à faire depuis longtemps, et je savais que ce serait un défi. Pour le réaliser avec plaisir et succès, il me fallait trois choses : une bonne condition physique, un équipement de base et une météo favorable.
Deux mois avant le voyage, j’ai commencé un entraînement intensif : des randonnées de plusieurs jours en montagne, sac au dos lourd. J’ai réussi à égaler, voire à battre, les temps de piste du DOC. De plus, je me suis engagé à faire des randonnées d’une journée chaque semaine, sac au dos bien rempli, pour développer ma force et mon endurance.
Bien préparé et bénéficiant d’une météo clémente, je me suis lancé avec deux amis sur la piste Dusky. Dès le départ, le plus grand défi résidait dans le terrain : nous avons passé une grande partie de la journée à grimper et à descendre des sections presque verticales, à nous faufiler dans un labyrinthe de racines d’arbres. Sur les sections plus plates, la boue exigeait un équilibre parfait et une concentration constante.
Malgré la difficulté, c’était grisant. Les vues depuis les sommets étaient spectaculaires et chaque passage difficile valait la peine.
À mi-chemin, nous avons passé une journée supplémentaire dans un refuge à cause d’une forte pluie ; la piste aurait été dangereusement glissante. Cela s’est avéré être un bon repos pour nos muscles. Mais je n’avais pas réalisé à ce moment-là que ce n’était pas suffisant pour un muscle essentiel : mes fessiers.
L’avant-dernier jour, j’ai commencé à ralentir sensiblement. Une jambe pouvait à peine me soutenir, surtout dans les descentes. J’ai réussi à atteindre le refuge pour notre dernière nuit, tant bien que mal. Nous n’avions que cinq heures de marche le lendemain ; le repos me permettrait-il de récupérer ?
Mais après seulement dix minutes assises, mes muscles ont complètement lâché. J’ai dû ramper à quatre pattes jusqu’aux toilettes. Le matin, c’était pire. Je ne pouvais plus me tenir debout, et encore moins marcher.
Au final, mon rescueME PLB1 est devenu mon sauveur.
J’ai acheté une PLB parce que je savais qu’une catastrophe pouvait survenir à tout moment. Je l’ai achetée comme une sorte d’assurance, espérant ne jamais avoir d’accident grave. Mais qu’est-ce qui est grave ? Se retrouver coincé au milieu de nulle part, incapable de marcher plus loin, ça peut toujours arriver. Même avec la meilleure préparation possible. Pour une randonnée en toute sécurité, il faut avoir une PLB , même si on ne pense pas en avoir besoin un jour.
L « Ocean Signal PLB1 est compact et facile à utiliser. Le mode d’emploi est clairement expliqué sur la PLB elle-même. Il a donc été facile de PLB installer sans avoir le manuel avec moi.
Merci à l « équipe de secours d » être venue me chercher un dimanche matin. Désolé de vous avoir réveillé.
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