histoire de survivant
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Un pêcheur, sauvé des eaux tumultueuses près du banc de Raglan samedi, affirme qu’il doit sa vie à un simple équipement : son gilet de sauvetage. Sans lui, il pense que lui et son fils adolescent ne seraient jamais rentrés chez eux.
Stephen Wright et son fils Mason étaient partis ce matin-là pour ce qu’ils pensaient être une sortie de pêche de routine dans le port de Raglan. À bord de leur jet-ski, ancrés par environ 13 mètres d’eau, ils profitaient du calme avant le changement de marée. Mais en quelques instants, ce qui avait commencé comme une paisible sortie s’est transformé en une lutte acharnée pour la survie.
« La corde d’ancrage était trop courte », expliqua plus tard Wright. « Elle en voulait plus. Et au lieu de lâcher prise, elle a tiré le jet-ski. Soudain, il a basculé et nous étions à l’eau. »
Le chavirage soudain a séparé père et fils de leur jet-ski presque instantanément. En quelques minutes, ils se sont retrouvés à la dérive, à environ 200 mètres de chaque rive. Ce qui aurait pu être une courte baignade dans des eaux plus calmes s’est vite transformé en une épreuve terrifiante lorsque le bar Raglan a révélé sa réputation dangereuse.
« Je me suis dit : “On nage pour y arriver” », se souvient Wright. « On avait nos gilets de sauvetage, donc je pensais qu’on s’en sortirait. Mais malgré tous nos efforts, on n’avançait pas. Le courant nous entraînait toujours plus loin. »
Bientôt, le duo fut pris dans les célèbres vagues du bar, des murs d’eau puissants et implacables s’abattant avec force. « Elles nous fonçaient dessus avec une telle force », dit Wright. « On ne se rend compte de sa petitesse qu’une fois dedans. Chaque vague nous épuise. »
L’épuisement grandissant et l’absence de toute issue, Wright comprit qu’il fallait agir vite. Il saisit sa balise de localisation personnelle (PLB), un petit appareil spécialement conçu pour les situations d’urgence comme celle-ci. L’activant, il réussit également à appeler le 111, alertant ainsi la police de l’urgence.
La demi-heure qui suivit leur parut une éternité. L’eau froide commença à s’infiltrer dans leurs os, engourdissant leurs membres et rendant leur concentration plus difficile. Père et fils montraient les premiers signes d’hypothermie, tremblant de façon incontrôlable tandis qu’ils flottaient impuissants dans la houle.
Enfin, le bruit du salut perça le rugissement des vagues. Une équipe de secours arriva et tira les deux hommes en sécurité, mettant fin à ce qui aurait pu être une journée tragique sur l’eau. Bien que soignés pour hypothermie, ils s’en sortirent indemnes, un exploit que Wright attribue entièrement à leurs gilets de sauvetage et à la rapidité d’intervention des sauveteurs.
En repensant à cette épreuve, la voix de Wright exprimait un mélange de soulagement et d’incrédulité. « On se serait noyés sans ces gilets. Aucun doute là-dessus. On ne s’attend pas à ce que les choses tournent mal avant qu’elles ne surviennent – et là, c’est trop tard. Cette balise, cet appel et ces gilets nous ont sauvés. »
Je crois que si je n’avais pas mis mon gilet de sauvetage et n’avais pas pris ma PLB pour une raison quelconque ce jour-là, je me serais noyé, à 100 %
Le samedi 20 septembre 2025, j’ai été impliqué dans un grave incident. Lors de l’opération de sauvetage, j’ai activé ma PLB1, qui a joué un rôle crucial pour nous retrouver et nous mettre en sécurité. Malheureusement, l’appareil a été perdu au cours de l’opération et devra être remplacé.
Je tenais à vous exprimer ma sincère gratitude pour ce produit exceptionnel. Il nous a littéralement sauvé la vie, et je ne m’aventurerai plus jamais sur l’eau sans lui.
Merci d’avoir créé un équipement de sécurité aussi fiable et essentiel
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