histoire de survivant
Un hélicoptère de recherche et de sauvetage sauve Wellington Hunter après une grave blessure à la jambe
C’était censé être le voyage parfait entre potes : quelques bons copains, une poignée de motos et la beauté sauvage et indomptée de l’arrière-pays de Clarence qui s’étendait devant nous. L’air était vif, le terrain accidenté, et la promesse d’aventure planait sur chaque chemin sinueux et chaque colline couverte de touffes d’herbe. Là-bas, entourés seulement par le vrombissement de nos moteurs et le silence immense des montagnes, nous nous sentions libres.
Nous avions passé la journée à cheval à travers des paysages accidentés, sur des sentiers étroits qui serpentaient au-dessus des lits de rivière et à travers d’épaisses touffes d’herbe, de celles qui peuvent dissimuler des pierres suffisamment grosses pour gâcher une journée. Alors que le soleil commençait sa lente descente derrière les crêtes, nous avons entrepris le chemin du retour vers le campement, fatigués mais satisfaits, parlant déjà des histoires que nous nous raconterions le soir même. C’est alors que je l’ai vu.
Un peu plus loin, un des garçons était à terre, étendu de tout son long, coincé de façon inconfortable par sa moto. Même de loin, je comprenais que quelque chose n’allait pas. Quand je l’ai rejoint, il était évident qu’il souffrait énormément. Il avait heurté une pierre cachée dans les touffes d’herbe, et le choc l’avait projeté dans un épais fourré d’épines. La moto s’était abattue violemment sur lui, et le spectacle de ce corps enchevêtré de métal et de ronces était macabre.
On a vite compris qu’il s’était cassé quelque chose, probablement plusieurs os. Mais là, en plein désert, on ne pouvait pas faire grand-chose. Le terrain était impitoyable : des kilomètres de nature sauvage nous séparaient de la première trace de civilisation. On avait très peu d’antidouleurs, aucun moyen de le déplacer sans risquer d’aggraver sa blessure, et le jour déclinait rapidement.
Dans ces moments-là, les décisions sont faciles à prendre. Sans hésiter, j’ai attrapé ma balise de détresse personnelle (rescueME PLB1) et j’ai appuyé sur le bouton. C’est le genre d’appareil qu’on espère ne jamais avoir à utiliser, mais quand on en a besoin, rien d’autre ne compte.
La balise s’alluma, émettant silencieusement son signal de détresse qui rebondit de satellite en satellite jusqu’aux centres de coordination des secours. Même si nous savions que les secours allaient arriver, ce fut un immense soulagement d’entendre le bruit régulier des pales de l’hélicoptère à l’approche de l’équipe de sauvetage.
En pleine nature, loin de toute aide, la situation peut basculer en un instant. Mais avec une bonne préparation, l’équipement adéquat et une équipe prête à intervenir, une catastrophe peut se transformer en une histoire de sauvetage.
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Emportez toujours une balise de détresse personnelle (PLB) lorsque vous êtes en pleine nature.
Daniel s’est fracturé le bassin et se rétablit lentement.