histoire de survivant
Un dispositif critique en montagne : comment un PLB1 rescueME a assuré un sauvetage en toute sécurité
Les rafales atteignaient soixante-dix nœuds, mais j’étais à l’abri des vagues à bord de mon Rival 34, le Soldemar.
L’intensité de la situation a fait freiner ma ligne d’amortisseur et l’ancre a commencé à traîner.
Je n’étais pas trop inquiet au début, mais en quelques minutes, je me suis retrouvé dans une eau beaucoup plus agitée.
Le guindeau de l’ancre n’a pas pu supporter la traînée de l’ancre et de la chaîne le long du fond marin, et finalement, le moteur du guindeau a brûlé.
Étant seul, je n’arrivais pas à stabiliser le bateau avec le moteur tout en treuillant en même temps.
La montée d’adrénaline était intense – j’étais trop occupé pour avoir peur, même si la situation était terrifiante.
Le bateau était ballotté comme une poupée de chiffon.
Soudain, la chaîne a sauté hors du guindeau, se déroulant jusqu’à la chevauchée qui reliait la chaîne au bateau.
Avec un bruit comme une explosion, le manège s’est alors cassé.
À cause du vent et des vagues, je n’ai pas pu progresser au vent et me mettre à l’abri.
Peu de temps après, le bateau a heurté des rochers submergés.
La quille s’est inclinée de près de 90 degrés – le bruit de ses éclats et de son fracas était au-delà des mots.
C’était comme la fin.
J’ai donné au moteur toute sa puissance, et lentement, douloureusement, il a entraîné le bateau hors des rochers.
Puis le moteur a lâché.
J’ai failli me briser la tête.
J’étais entouré de chaos, trop de vent pour n’importe quelle voile, et je me dirigeais droit vers un rivage rocheux.
J’ai réussi à me ressaisir, j’ai appelé un Mayday sur la VHF et j’ai activé mon RescueME EPIRB1.
Quelques minutes plus tard, j’ai été projeté sur les rochers de l’île de Fuday.
Rien dans la vie ne m’avait préparé à cela, c’était comme un cauchemar éveillé.
La RNLI est arrivée sur les lieux avec un hélicoptère de la Garde côtière.
Ma RLS avait transmis mes coordonnées exactes.
Je me suis précipité de mon bateau naufragé et dans l’eau, jusqu’à un petit bateau gonflable de la RNLI avec deux canots de sauvetage à bord, luttant contre les vagues.
Le plus grand bateau de sauvetage de classe Severn, l’Edna Windsor, se tenait dans des eaux plus profondes, et en quelques minutes, j’étais en sécurité à bord.
J’ai passé quelques jours à l’hôpital de Barra à cause de l’épuisement et pour surveiller mon diabète de type 1.
En ce moment, j’attends de voir si mon bateau peut être récupéré.
Mais je suis vivant !
Un grand merci à l’équipage du bateau de sauvetage Barra, à la Garde côtière et à ma RLS Ocean Signal.
—Matt
That yellow gadget attached to your bulkhead – Your EPIRB – Its the best friend you will ever have!
When I bought my Ocean Signal EPIRB1, I attached it to my bulkhead and basically ignored it from then on, until I needed it. Then, on the fateful day, when I needed it, my EPIRB1 became my best friend. Thank you Ocean Signal, your product saved my bacon!
histoire de survivant
Un dispositif critique en montagne : comment un PLB1 rescueME a assuré un sauvetage en toute sécurité
histoire de survivant
PLB a sauvé un étranger dans le parc national du Mont Aspiring
histoire de survivant
rescueME PLB 1 sauve un randonneur d’une alerte sanitaire au sommet des montagnes isolées de Nouvelle-Zélande